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Je recois tellement de Spam que je crypte mon adresse email : eelric arobas voila.fr. Voilà.

Dames et demoiselles auraient-elles peur de nous faire admirer leur petit orifice « magique » ? A vos APNs mesdemoiselles, faites-vous aidé si nécessaire ! N'hésitez pas à m'envoyer vos photos amateurs & amatrices de sodomie ou autre...Je ne manquerai pas de les publier dans mon blog ! Merci à toutes et tous.

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SODOMIE DU MATIN, CHAGRIN, SODOMIE DU SOIR, BON SOIR.

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Documentation

Dimanche 29 mai 7 29 /05 /Mai 00:00

Quelques informations statistiques concernant la sexualité anale 

 

L'étude (2001) publiée en France sur le sujet retrouve, toutes tranches d'âges confondues : 24% des femmes interrogées qui ont, au moins une fois essayé la sodomie, et 9% des femmes interrogées qui l'apprécie et la pratiquent plus régulièrement. Ainsi, sur l'ensemble des femmes qui disent avoir pratiqué au moins une fois la sodomie, 37,5% d'entre elles y prennent du plaisir. Cette même étude nous dit également que sur l'ensemble des femmes interrogées, 3% n'ont jamais essayé mais aimeraient tenter l'expérience de la sodomie. Cocorico donc à nos petites françaises puisque elles sont 1 sur 4 à déjà avoir essayé et 1 sur 10 à aimer cela ! Ce qui est une statistique plus qu'honorable ! Mais la palme d'or revient aux jeunes filles maghrébines ! Elles sont en effet championnes du monde toutes catégories en matière de sexe anal. Ceci s'explique en grande partie par les différences de culture. Encore aujourd'hui, la recherche de la virginité au moment du mariage est une priorité pour beaucoup de musulmans. Il n'est pas rare qu'un père ou un futur mari demande à ce qu'un examen médical soit effectué afin de s'assurer de la virginité de la demoiselle. Ainsi, la sodomie est pour ces jeunes filles une alternative à laquelle elles ont recoure pour leur permettre d'avoir une vie sexuelle tout en préservant leur virginité.

 

Par RAMON - Publié dans : Documentation
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Lundi 23 mai 1 23 /05 /Mai 00:00

Anatomie et Physiologie de l'anus et du rectum

L'anus est formé de deux sphincters :

   Le premier, le sphincter externe, est composé de muscles striés qui sont sous le commandement de notre volonté. C'est lui que l'on sollicite et que l'on relâche lorsque nous décidons d'aller aux toilettes.

   Le second, le sphincter interne, est lui formé de muscles lisses, dont la commande échappe complètement à notre volonté. Il nous permet de conserver notre continence tout au long de la journée. C'est lui qu'il faut amadouer avant une sodomie, afin le dilater progressivement et de permettre un rapport sans douleur.

   Le rectum, lui, prolonge la portion terminale du colon. En forme d'ampoule, il est tapissé d'une muqueuse, beaucoup plus fragile que la muqueuse vaginale, dont la particularité est de ne secréter aucune lubrification. C'est pour cela qu'il est primordial d'une part de préserver cette fragile muqueuse, et d'autre part d'utiliser un lubrifiant avant tout rapport anal.

   La paroi rectale est très riche en terminaisons nerveuses, mais ces dernières sont différentes de celles que l'on peut retrouver au niveau vaginal, et elles ne rejoignent pas les mêmes régions de la moelle épinière. C'est pour cela que les réactions face à la sodomie peuvent être très différentes selon les individus : pour certaines personnes, la stimulation de ces terminaisons nerveuses véhiculera du plaisir, alors que pour d'autres elle sera plutôt responsable de douleur ou d'inconfort.

   Au niveau anatomique, la principale différence qu'il existe entre le rectum de l'homme et celui de la femme se situe au niveau de la face antérieure de l'ampoule rectale, qui chez l'homme est en rapport avec la prostate. Pour la femme, la paroi antérieure du rectum est aussi la paroi postérieure du vagin, et la stimulation de cette paroi antérieure rectale entraîne une stimulation des terminaisons nerveuses situées au niveau de la paroi postérieure vaginale. Il est donc primordial, surtout lors de premiers rapports anaux, de privilégier les positions qui favoriseront la stimulation de cette paroi rectale antérieure, afin de laisser à votre partenaire toutes les chances de découvrir le plaisir anal.

 

Une femme peut-elle avoir un orgasme en se faisant sodomiser ?

   Comme dans toute relation sexuelle, la notion de plaisir et d'orgasme, est très subjective, et reste fonction des individus… la sodomie n'échappe pas à cette règle. Les sensations perçues lors de la sodomie varient d'une personne à l'autre. La pénétration anale procurera du plaisir et sera une pratique érotique pour certaines femmes alors que d'autres ressentiront de la douleur ou percevront un inconfort, plus ou moins liés aux conditions et à la technique utilisée.

   Il est cependant beaucoup plus difficile d'obtenir du plaisir ou un orgasme par la sodomie que par un rapport vaginal. Outre les sensations purement physiques ressenties, et les conditions techniques dans lesquelles se passe la sodomie, le plaisir anal chez la femme est avant tout un plaisir très cérébral. La sodomie est une variante sexuelle au cours de laquelle celle qui s'y adonne brise un tabou, passe un interdit et se livre autrement à son partenaire, dans ce qu'elle peut avoir de plus intime.

 

Quels sont les principaux risques liés à la sodomie ?

   Comme toute pratique sexuelle, la sodomie comporte quelques risques, qui, si on les connaît, peuvent facilement être prévenus.

   Une allergie à un lubrifiant ou au latex du préservatif est toujours possible, en anal comme en vaginal…

   Au cours d'un rapport anal, il faut principalement se méfier des petites déchirures anales ou des microfissures rectales, par des ongles trop longs, des accessoires mal adaptés ou encore une pénétration trop hardie.

   Une irritation passagère, voir une rectite (inflammation du rectum), est toujours possible après quelques brusqueries.

   Il faut enfin et surtout parler des risques infectieux : mycose, MST (au rang desquelles on retrouve le SIDA)… qui sont communes à toutes pratiques sexuelles, mais dont la fréquence est peut-être plus importante au décours d'un rapport anal. Il est important d'éviter de procéder à des contacts vaginaux après les contacts anaux sans changer de préservatif ou encore sans bien laver le pénis, sinon il y aurait risque de véhiculer des matières fécales et de provoquer des infections vaginales.

 

La sodomie peut-elle responsable de lésion du sphincter anal, voir d'incontinence ?

   Vous constatez que le sphincter anal reste ouvert après une pénétration anale. Comme je l'explique précédemment ; l'anus est un sphincter, un muscle circulaire, contracté en permanence de façon purement réflexe. Il est donc fréquent que le sphincter reste ouvert quelque temps après un rapport anal pour ensuite se refermer.

   En se référant à la littérature médicale, il n'existe pas d'effets négatifs de la sodomie à long terme lorsque cette pratique est effectuée avec les précautions de base. De nombreuses croyances portent les gens à croire que le sphincter anal pourrait demeurer dilaté de façon irréversible, et que ceci pourrait entraîner une l'incontinence. S'il est vrai qu'un anus, par trop contracté et forcé par quelque sexe volontariste, peut être à l'origine d'une déchirure anale (ou également d'une déchirure du frein du partenaire) ; la sodomie si elle est pratiquée de façon consentante par les deux partenaires, en s'entourant des précautions liées à ce type de rapport, ne présente pas de risque d'incontinence anale.

©AmélieG

Par RAMON - Publié dans : Documentation
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Samedi 14 mai 6 14 /05 /Mai 00:00

53% des hommes pratiquent la sodomie, de temps en temps, avec leurs compagnes.

12% des gens qualifient la sodomie comme une opération douloureuse.

24% des femmes avouent qu’elles pratiquent le coït anal de manière régulière contre 16% en 1970.

78%  des femmes ont essayé au moins une fois.

75% des pratiquants sont hétérosexuels.

65% des pratiquantes régulières avouent apprécier cet acte.

60% des femmes sont gênées à l’idée d’en parler.

 

Par RAMON - Publié dans : Documentation
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Dimanche 8 mai 7 08 /05 /Mai 00:00

  La sodomie n'est pas le dernier truc sexuel en vogue. Dans la Bible, deux villes où les moeurs étaient plutôt olé olé furent détruites par la colère de Dieu. L'une d'elles s'appelait Sodome... Dans la Grèce antique, les professeurs estimaient qu'il n'y avait pas de meilleur moyen pour transmettre force, sagesse et virilité à leurs élèves. Et à une époque où la pilule n'avait pas encore envahi les pharmacies, force est d'admettre que cet orifice pouvait s'avérer pratique... dès qu'on voulait assurer ses arrières ! Après avoir appris qu'une de ses consoeurs était enceinte, la célèbre cantatrice française du XVIIe siècle Sophie Arnould aurait même dit haut et fort qu'"une souris qui n'a qu'un trou est bientôt prise".

  Contrairement aux chefs religieux de l'empire perse, qui sont allés jusqu'à rédiger des codes encourageant la sodomie afin de limiter le nombre trop florissant de naissances, les Pères de l'Église et les théologiens se sont empressés de lui trouver un petit côté pas très catholique, justement à cause de ça! Réprouvant tout rapport charnel ne menant pas à la procréation, ils ont fini par en faire un péché contre nature plus grave que l'inceste ou le rapt d'une religieuse ! Et pour être sûrs d'empêcher les hommes et les femmes de se livrer à ces accouplements "désordonnés", ils n'ont eu aucun scrupule à leur coller carrément l'Inquisition aux fesses ! Après tout, il ne peut y avoir que du Satan là-dessous!... Sinon, comment expliquer que de bons croyants puissent ainsi se laisser tenter par des plaisirs rigoureusement défendus? La suite n'a rien de réjouissant. S'ils ne terminaient pas leurs jours sur le bûcher, à l'instar d'une certaine Antide Colas de Bétoncourt qui confessa en 1599 que le diable lui rendait visite par cette "porte", les amateurs de cette pratique étaient pratiquement condamnés à mourir de faim, puisqu'on leur prescrivait entre 3 et 15 ans de jeûne pour se "racheter".

  Au XIXe siècle, les premiers psychiatres dressent un tableau des perversions sexuelles, qui inclut bien sûr la sodomie. En 1948, alors qu'une Amérique ultraconservatrice et pudibonde se relève à peine de la guerre, le chercheur Alfred Kinsey lance une bombe: dans son célèbre rapport sur les moeurs sexuelles des Américains, il n'hésite pas à dévoiler que 69 % des hommes ont fréquenté des prostituées, 92 % se masturbent et 60 % pratiquent le cunnilingus. La révélation fait scandale. Pire: il reconnaît même que la région anale aurait un potentiel érotique pour la moitié de la population environ, sans toutefois entrer dans les détails. Lorsqu'on sait qu'encore aujourd'hui 15 États américains ont des lois anti-sodomie, visant autant les hétéros que les gays, qui prévoient (en théorie) des peines allant de 300$ d'amende à la prison à vie! - au Canada, la loi anti-sodomie a été révoquée en 1969 par Pierre Elliott Trudeau -, il faut avouer que Kinsey ne manquait pas d'audace. Mais surprise! Alors qu'on aurait pu penser qu'un pareil pionnier du sexe ne pouvait nourrir des scrupules marqués par la morale, voilà qu'on découvre bien des années plus tard qu'il avait aussi recueilli des données précises concernant la sodomie. D'après ses travaux, 11 % des couples mariés ont admis avoir essayé la sodomie. Mais on est en 1948... Le sujet était sans doute encore trop tabou pour qu'il ose s'y frotter de plus près en divulguant ces chiffres.

1972. Un film prend l'affiche dans la controverse. Dans "Le dernier Tango à Paris", du réalisateur Bernardo Bertolucci, Marlon Brando, figure mythique du cinéma mondial, et Maria Schneider, jeune actrice inconnue, y utilisent une plaquette de beurre d'une façon "originale" qui n'a rien à voir avec la cuisine... Coïncidence ou pas, dans les sondages, la sodomie fait un bond: 14 % des femmes et 19 % des hommes avoueront cette année-là s'être laissé tenter par une position qui, jusqu'alors, était plutôt en mauvaise posture.

  Dans l'émission " Éros ", diffusé au Canada, on reçoit régulièrement des appels sur le coït anal, du genre "Comment amener ça dans un couple" ou "Quoi faire si ma femme ne veut pas le faire", rapporte Sylvie Ledoux, animatrice de l'émission. Quand on parle de sodomie à la télé, c'est comme si ça donnait aux gens la permission de l'essayer. Après tout, c'est une pratique sexuelle comme une autre." Mais psychologiquement, les interdits demeurent, comme si on avait atteint les limites de la "révolution sexuelle". D'après une enquête menée en 1992 en France, plus d'une femme sur deux trouve qu'il est choquant qu'un partenaire lui propose d'essayer la sodomie. Est-ce que cela revient à dire qu'une femme sur deux la pratique? Pas vraiment. Seulement une sur quatre va accepter qu'on passe de temps à autre par la porte d'en arrière, et sur ce lot (si on se fie aux chiffres publiés en juillet 1996 par le magazine Elle), seulement 6 % ouvriront avec plaisir !

  Ignorance, poids des conventions, dégoût, culpabilité, gêne... Ça finit par peser bien lourd pour un petit mot de trois syllabes! "Culturellement, on n'accepte pas trop la sodomie parce que cette pratique est peut-être trop XXX au goût des gens, estime la sexologue et thérapeute Sylvie Lavallée. On peut aller piger dans diverses fantaisies, mais ce ne sera pas la première option retenue, car celles qui ne l'ont jamais essayée ont peur de la douleur, de l'inconnu. En plus, la femme peut avoir l'impression d'être dominée, rabaissée. Ça n'a rien à voir avec le fait qu'elle soit prude ou non. Il y a quelque chose de bestial dans cet acte, et elle ne veut pas passer pour une nympho ou une putain." Du coup, même les prostituées se montrent réticentes à l'idée d'offrir ce service à d'illustres inconnus. "C'est pas complètement tabou, mais c'est rare que les filles en parlent, dit Sylvie Caron, agente de liaison pour Stella, un regroupement des travailleurs et des travailleuses du sexe. Dans le métier, elles aimeront mieux faire une fellation parce que ça ne les implique pas, c'est rapide et c'est de l'argent vite fait. Mais c'est sûr qu'il y en a parfois qui vont pratiquer la sodomie parce qu'elles ont besoin d'argent et qu'elles peuvent demander plus cher pour ça. Mais de toute façon ce n'est pas ce que les clients préfèrent."

  Pour y prendre plaisir, ou au moins l'apprécier à l'occasion, il faut au départ qu'on soit plutôt branchée sur la variété et sur le sexe - comme les lectrices du magazine Playboy, qui à 61 % ont expérimenté la sodomie (sondage mené au début des années 80). "Lorsque des partenaires vivent ensemble depuis longtemps, arrive un moment où ils tombent dans la routine et peuvent avoir envie d'explorer autre chose, pense Sylvie Lavallée. Ça prend une très grande entente entre les deux, car il y a quand même une grande différence entre l'une ou l'autre des pénétrations." Autrement dit, vaut mieux s'abstenir de pratiquer la sodomie sans un minimum de préparatifs. Sinon, c'est un peu comme si on se lançait du haut d'un building sans parachute: on risque un atterrissage douloureux. "J'ai voulu essayer ça le mois dernier avec ma copine, mais comme on ne l'avait jamais fait ni l'un ni l'autre, on ne savait pas trop comment s'y prendre, rapporte Érick, 34 ans. Ça lui a fait tellement mal qu'elle m'en parle encore."

  C'est que cette région est pourvue d'un grand nombre de terminaisons nerveuses, ce qui en fait une zone érogène archi-sensible. Chaque femme ne ressentira pas tout à fait la même chose, puisque certaines trouveront ça carrément inconfortable ou douloureux, alors que d'autres éprouveront du plaisir. Il n'y a pas de norme. "C'est une forme de jouissance vraiment très différente qui ne donne pas d'orgasme, mais j'ai appris à l'apprécier avec le temps, rapporte Julie, 31 ans. Plus on le fait, meilleur c'est, car les inhibitions tombent et on sait davantage comment s'y prendre." Et si on veut éviter le genre d'expérience traumatisante qu'a connue la copine d'Érick, il faut beaucoup de patience et une triple dose de douceur. Pas question de faire ça à la sauvette pendant la pause publicitaire! C'est d'ailleurs ce qui lui donne son petit plus car, justement, les préliminaires durent habituellement nettement plus longtemps que lors d'une relation ordinaire. "En fait, c'est le genre d'affaire que tu fais quand tu veux avoir une relation sexuelle qui se prolonge, confie Martin, 38 ans. L'autre grande différence, à mon avis, c'est que ce n'est pas un acte amoureux mais un acte sexuel où tu as l'impression de faire quelque chose de plus osé.".

  Comme le dit si bien Sylvie Lavallée, il ne faut pas avoir peur de pimenter sa sexualité, parce que ça rehausse le goût de la sauce! "Moi, c'est le côté tabou de la sodomie qui m'excite, relate enfin Catherine, 29 ans. J'ai alors l'impression de franchir les limites du politically correct. Et ça, pour faire monter l'adrénaline, c'est drôlement plus efficace qu'une virée en moto!" Elle n'est pas devenue une accro de la sodo pour autant mais, une fois de temps en temps, elle aime bien. "Après sept ans de vie commune, il faut avouer que ça met du piquant", ajoute-t-elle.

  "Les couples qui la pratiquent aiment jongler entre romantisme et perversité, explique Sylvie Lavallée. Ils sont à la fois capables de faire l'amour et d'avoir des relations hors de l'ordinaire, plus génitales, parce qu'ils sont très à l'aise avec leur corps et qu'ils peuvent atteindre un autre niveau d'intimité avec leur partenaire. À mon avis, ce n'est donc pas quelque chose qu'on fait le premier soir avec une personne qu'on vient tout juste de rencontrer, parce que c'est assez anti-romantique, merci!" Il faut aussi qu'on soit ouverte aux fantasmes de l'autre, puisque dans la majorité des cas, c'est lui qui risque d'amener le sujet sur le matelas. "Mais si une personne ne désire pas essayer la sodomie, il ne faut pas la forcer, s'obstiner ou lui faire croire qu'elle doit absolument le faire, souligne Marc Ravart, psychologue et sexologue en pratique privée et attaché à l'Unité de la sexualité humaine à l'Hôpital Général de Montréal. Il n'y a rien qui dit qu'une femme libérée doit intégrer la sodomie à son répertoire sexuel. Mais si elle en a le goût, c'est son choix!".

©AmélieG

Par RAMON - Publié dans : Documentation
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